Descendus du train, nous avons traversé la ville pour atteindre le palais de tsarskoie selo, une résidence d’été.
Cet édifice présente une façade bleue et blanche rythmée de sculptures et d’atlantes. Ce monument comporte 55 pièces dont 30 rénovées à ce jour. Il fut construit au milieu du XVIII siècle pour Elisabeth, la fille de Pierre Ier. Plus tard Catherine a voulu le faire agrandir, c’est l’architecte Rastrelli qui prend les travaux en main. Le palais mesure 306 mètre de long.
L’une des pièces les plus remarquables est la chambre d’ambre. Cette dernière, fut offerte par la Prusse à Pierre Ier. En remerciement il leur offre un régiment de grenadiers. Pendant la guerre les allemands ont volé tous les panneaux d’ambre, et ils n’ont jamais été retrouvés. La seule d’origine est une toile florentine, qui est conservée dans les coffre du palais. Il a donc fallu tout refaire, le chantier à duré 26 ans et a couté 12 millions de dollars.
La salle du trône a une surface de 900m2 : autant de surface de parquet marqueté et de peinture au plafond. 700 bougies éclairaient la salle et 9 kg d’or ont été utilisées pour dorer l’ensemble des sculptures. Cette salle, dessinée par Rastrelli ne comporte que des sculptures différentes, pas une seule n’est répétée à l’identique. Trois chambres en enfilade, sont décorées chacune avec une seule couleur : la chambre bleue, la rouge, la verte. Dans l’escalier principal, on peut voir deux sculptures représentant un cupidon : l’un se réveille du côté est et l’autre s’endort à l’ouest.
Le soir, nous sommes allés boire un verre avec l’ancien. Dans un bar où il y avait un concert de rock russe, c’était bien marrant. (Jolie imitation du robot). Après le concert, certains sont allés dans une boite où il y avait beaucoup de gogo danseuses, très sympa.
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